La malédiction du Val des Bois
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Les forêts progressent dans le Val des Bois, limitant les récoltes. Les bêtes semblent perdre tout fertilité. L'hiver s'annonce dur dans la vallée et les esprits s'échauffent quelque peu...
. Premiers jours de novembre 1211
Ayant récolté de multiples rumeurs parlant de Massat comme un endroit hanté et pour savoir ce qu’étaient devenu les Brabançons, le mage Audius réunit une équipe et se rend sur place.
Audius, Bud, Wilfried et Peter partent donc en cette matinée d’automne.
Rencontre avec Guiffré
Les bruits d’une chasse précèdent la venue d’un groupe formé par le seigneur Guiffré, Gilbert de Montpallier (Calebaïs), un troisième cavalier et quelques piétailles.
Le seigneur Guiffré se montre assez agressif (surtout verbalement) avec le seigneur d’Amarante. Les discussions tournent autour des sauvages des narines du diables, les mines hantées du même endroit, la place de plus en plus importante que prend le seigneur d’Amarante dans la politique du Val des Bois.
Alors que Guiffré s’approche d’Audius dans un rapport de force assez tendu, le mage est prit d’un malaise inexpliqué qui semble aussi surprendre Guiffré. Audius accuse Guiffré de satanisme alors que celui ci la plus ou moins fait auparavant ...
Finnalement grâce au zèle de Gilbert de Montpallier, prêt à s’investir tout de suite dans la quète pour aller chasser le monstre qui se trouve dans les mines des narines du diables, les deux protagoniste arrivent à se ménager une issue non-violente. Le mage toujours un peu affaibli, le groupe repart en direction de Massat.
Pause à Siernami
La troupe passe la nuit à Siernami ou il rencontre la cousine de Raoul, qui est une rescapée de la tuerie des croisés. Pour elle tout est la faute des croisés et des esprits malins de la forêt (ceux qui volent même les enfants) qui envoient les forêts pour se venger des hommes.
Massat
Le village de Massat est envahi par les arbres. L’église à peine commencée (construite avec les pierres de la colline du cornu) présente une grande croix de bois. Tout autour des cadavres des Brabançons et d’ouvriers sont incrustés dans la végétation.
Un homme à moitié fou, Brabançon, erre dans le village en parlant aux cadavres et en jardinant. Complétement dément il semble avoir été laissé en vie par les fééries. Il raconte comme ces bestioles sont venues, se sont lamentées sur l’endroit de la cérémonie et ont lancés les arbres à l’attaque des humains.
Une avancée sur l’endroit ou se tenait la colline provoque le jet de javelots pour faire sortir les intrus de la zone en question, présentant un profond silence. Wilfried, un peu plus tard retourne discretement dans l’endroit, sans rencontrer personne.
Finnallement des survivants sont découvert cloitrés dans les maisons. La femme de Gilles qui s’occupait du régio avant l’arrivée de Sarimarcus s’entretient avec nos aventuriers. Ayant survécu avec les restes du repas, elle refuse de partir se sentant le devoir de rester ici pour garder l’endroit. Elle ne peut justifier son choix, ne se rappelant ni de Coffa, ni même de ce que faisait son mari auparavant. Avant que la troupe parte, la femme de Gilles lui remet les affaires du defunt Sarimarcus comprenant notament (surtout en fait) son journal de bord. Audius déclarera peu après qu’il contient des informations sur la cour feerique locale.
Les autres survivants sont ramenés à Siernami alors que Auidius revient plus tard avec quelques hommes pour rammener les biens de première nécessité à cette pauvre femme et ses enfants.
Quelque jours plus tard la foire anime le village de Javielle. Devant le manque de nourriture Romuald à été sollicité. Il a rammené des céréales vendues à prix coutant aux villageois. Il vient vendre le reste lors de la foire (à prix normal, c’est à dire assez cher, la situation n’est pas rose non plus sur Foix). Militia est présente ainsi que Saï pour s’assurer de la bonne marche de la foire.
La vie se passe, les gens trouvent les prix cher. Pep se ballade, malheureux car privé de son compagnon catastrophiquement féérique qui logait dans son oreille, responsable des malheurs des fromages de Mariette. Merci à Sai : mago nettoyeur de fromage.
Les deux parfaits Talebot et Ferrant arrivent. Après un prestation peu efficace de Talebot, Ferrant interpelle les foules dans une impressionnante harangue (le père Laurent écrase). Son message est renforcé par " l’effort d’un Bon Chrétien " ie Guiffré qui charge Cugat le tenancier d’offrir un repas aux plus pauvres " qui veulent chercher ce qu’il y a de bon en eux ".
Convoqué, Ferrant minimise la porté politique de son acte et certifie que Guiffré n’a pas agit en cherchant à récupérer Javielle et que comme bon chrétien il ne peut que le dissuader de le faire.
Malgré cet incident la foire se termine normalement.
Toute la vallée se prépare à passer l’hiver en attendant une nouvelle année.